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 Un dieu à la rue.

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Arès
▪ Ombre ▪
Arès


Messages : 4
Date d'inscription : 08/11/2009
Age : 35
Localisation : Sur le champ de bataille !

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MessageSujet: Un dieu à la rue.   Un dieu à la rue. Icon_minitimeMar 12 Jan - 18:59

Ils sont tous descendu un par un, les dieux réuni sont tous descendu sur terre pour accomplir leurs mission, qu’ils soient du coté de la lumière, ou du coté de l’ombre. Arès lui-même a suivit le mouvement, plongeant ainsi dans le vide pour rejoindre les humains. Une sensation de liberté se fit sentir, tel un oiseau, le dieu féroce se sentait tel un petit oisillon qui quittait son nid. Près de 2000 ans s’était écoulé depuis la dernière fois ou il avait ressenti cela. Après quelques minutes de chute libre, Arès toucha enfin le sol tel une comète, détruisant tout autour de lui à 10 mètres à la ronde.
Puis soudain, il senti une étreinte magique se resserré sur lui, doucement. Le dieu de la guerre poussa un cris de fureur qui fit trembler le sol lui-même. Arrivant à se libéré une fraction de seconde, il tenta de s’échapper , mais les chaines en or magique reviens à la charge, le capturant une nouvelle fois et le ligotant sur le sol. Impossible de bouger, tout son corps était pris dans l’étreinte. Gigotant toujours, Arès poussa un deuxième cris de fureur :

-Après 2000 ans de sommeil, voila à quoi j’en suis réduit ! Maudit soit celui ou celle qui m’a fait ça ! 

Effectivement, le dieu de la guerre ne sait pas qui aurais pu lui faire ça, ou en tout cas il ne sait pas qui serais assez fou pour oser lui faire subir ce sortilège.
Après plusieurs minutes de débattement, Arès se calme enfin, regardant et observant tout autour de lui, il ne voit aucune trace de civilisation. De la foret à perte de vue, quelque soit l’endroit où il regarde. Il essayait de se localiser grâce au vent, position du soleil et vol d’oiseau, mais les chaines avaient un pouvoir de brouillage.
Le soleil était brulant, et le ciel dégagé, pas un vent frais rien. Le dieu féroce se perdis rapidement dans ses pensées, pensant à sa douce Aphrodite, se demandant même ce qu’elle faisait en ce moment. Puis il se mit penser aux autres dieu, de la rage commençais à se lire sur son visage puis il mit une nouvelle fois à gesticuler dans tout les sens pour se libéré.
Tout à coup, une lumière viens l’aveugler, une puissante lumière venu du ciel. Puis dans cette même lumière, le dieu de la guerre senti une présence descendre elle aussi du ciel, très certainement un dieu ou une déesse de la lumière. Impossible de dire qui était-ce.

-Qui est la ?! Montre toi que je te casse en deux !

Doucement, il senti une main se poser sur son front, chaude et réconfortante. Arès se calma petit à petit, plongeant doucement dans un rêves profond. Dans ce rêve, Arès se voit guerroyer avec ses partisans d’il y a 2000 ans. Puis un trou noir aspire le dieu guerrier, l’éloignant de tout ce qu’il aimait et désirait. Se retrouvant dans le noir totale, Arès aperçus la même silhouette lumineuse de tout à l’heure.

-Qui es-tu ?  demanda Arès d’une voix étonnement calme

-Tu le saura en temps voulu Arès, mais pour l’heure, tu vas être enchainer dans cette endroit jusqu’à ce que nous, les dieux de la lumière, ramenons les humains dans le droit chemin, car tu es une trop grande menace pour nous 

La voix changea constamment, passant d’une voix de barriton d’homme au plus aigu de gamin, en passant bien sur par une simple voix de femme. Impossible de discerné si c’était un homme, une femme ou un enfant.
Puis dans une colère monstre, il poussa un cris de fureur, le sortant ainsi de sa torpeur. La silhouette de lumière se tenais toujours devant lui, d’un mouvement lent, elle recommençais la même manipulation pour le rendormir. Lutant de toute ses forces, Arès n’avais pas d’autre choix que de séparer son esprit de son corps.
Flottant dans les air avec son esprit astral, il regardait la scène, impuissant et furieux. La silhouette enferma ensuite son corps dans un grotte dans la montagne juste derrière lui, créant un éboulement pour enterré le corps inanimé du dieu furieux. La forme lumineuse se tourna ensuite vers son esprit astral, toujours d’un mouvement lent, l’aspect angélique jeta une puissante onde de choc vers Arès qui le projeta violemment vers l’horizon et le fis s’évanouir.

Sa tête était lourde et résonnait comme dans un temple, de la douleur se fit sentir un peu partout sur son corps

-De … de la douleur ? Sur moi ?  pensa-t-il

Dans un sursaut, il se levait de ce qu’il semblait être un martelât, il était vieux et tout déchiré de partout. Rapidement, il jette un coup d’œil sur l’endroit ou il avait atterrit, un endroit sombre ou deux immense tour cachaient le ciel. Au sol, des dizaines d’humains dormaient dans la rue, doucement, une main viens se poser sur l’épaule du dieu désemparer qui écarte rapidement du revers de sa mains tout en se mettant en garde. Un vieillard se tenait devant lui, ridé, ses habits étaient déchiré de partout, il avait une longue barbe blanche, ses dent étaient jaune et il lui en manquait certaines. Mais ce qui caractérisait le plus le vieil homme était son odeur ainsi que son halène.

-Hé p’tit gars ! Alors enfin réveillé ? Tu sais que tu as dormi pas moins de 5 jours, quand je t’ai trouver tu était à poil et tremblant comme une feuille, moi c’est Joe, et toi ?

Arès comprenait un peu près la langue que Joe parlait, doucement, Arès baissa sa garde en dévisageant le vieil homme.

-Je suis Arès, dieu de la guerre et des combats, où suis-je l’ancien ?

Le vieil homme s’esclaffa jusqu’à en pleuré.

-T’es un marrant p’tit, j’t’aime bien, t'es ici à Paris, tu dois pas être du coin puisque …

Arès n’écouta plus un mot après ça, regardant sa main gauche tout en se demandant comment il est arriver ici. Se perdant dans ses pensées, il n’avait pas aperçu un groupe de jeunes voyous qui semait la pagaille dans la ruelle. Armés de batte en bois, les délinquants semaient la terreur et se rapprochaient dangereusement de Joe. Un des jeunes voyous se démarqua et plaqua Joe contre un mur.

-Salut Joe, comment tu vas ? Tu n’as pas oublié ce que tu me dois hein ?

Le vieil homme était terrorisé, incapable de parler et tremblant comme une feuille. Doucement, le regard d’Arès se posa sur la scène qui se passait à un ou deux mètres de lui, ne comprenant pas la situation, il agrippa le poignet de l’agresseur et lui tordait le bras, entendant le jeunes hommes crier de douleur.

-Vieil homme, puisque tu as aidé ma magnifique personne, je vais t’aidé à te débarrasser de ses fauteurs de trouble.

Les voyous commençaient à se rassembler autour du dieu de la guerre et à l’attaquer avec des barres de fer, batte en bois et autres objets trouver dans les alentours. Toujours accrocher au bras du chef de la bande, Arès esquiva sans trop de mal les assauts des jeunes gens, sentant son sang commencer à bouillir tout en esquissant un sourire.

-Pitoyable gamins, je vais vous montrer ce qu’est une attaque du dieu de la guerre, si vous survivez, je vous prendrais comme esclaves ! Lança-t-il avec une voix et un sourire démoniaque.

Le dieu furieux arrêta sa clef de bras sur le jeune chef de bande, d’un mouvement rapide, il lui attrapa la tête pour venir l’écraser violemment sur le mur de derrière lui, repeignant ainsi une parti du mur avec le sang du jeune homme. Les yeux devenues rouge flamme, il regarda le reste de la bande avec un air plus que démoniaque, c’était le regard du dieu de la guerre, le dieu-guerrier de l’olympe.

-Je vais vous envoyez en enfer, là où Hadès lui-même va s’occuper de vos âmes !

Dans une vague de fureur, Arès terrassa tout ceux qui s’opposaient à lui, la ruelle était déserte à présent, juste les corps des jeunes gens jonchaient le sol, entre la vie et la mort. Seul une silhouette se dressait au milieu de ce champ de bataille, éclabousser de sang de la tête au pied, Arès lâcha le dernier corps qu’il tenait dans sa main, levant la tête vers le ciel, il poussa un cri de fureur que même les dieux dispersés à l’autre bout de la terre auraient pu entendre. Il s’arrêta enfin, regardant sa main, il referma son poing violemment en étant fermement résolu.

-Ce monde est devenu impur, il va falloir que je le purifie.
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